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:: Index » Sujets divers - Miscellaneous » Autre, divers... » Chroniques de la ville de Néo-Toulouse (2 réponse(s))

./POST DE DEPART (post n°0) Marquer comme non lu.

naPO

Ecrit le: Jeudi 13 mai 2004 à 16:24

Membre: Maître Ultime

Groupe: Orage Studio

Messages: 2430

Membre n°17

Inscrit le 01 février 2004

Sur yN, je me suis amusé à faire une 'tit' histoire

- "Non ! Ne pars pas, Sangkor ! La nation des Lorzans a besoin de toi ! Tu ne peux pas quitter tes amis !"
- "Il le faut", répondit Sangkor. "Je dois rester loin de toute civilisation, de toute pensée corrompue. Tant que je n'aurai pas atteint ce niveau de spiritualité, je ne pourrai revenir."
Et Sangkor partit, loin, vers un point non défini.
Sangkor était un jeune plein de fougue et de passion. Il s'assit alors sur le promontoire et se mit à refléchir. Il pensait à la ville de Toulouse détruite en 2008 par un phénomène inconnu. De ce fait, après la reconstruction, cette ville fut appelée Néo-Toulouse. Il jura de retourner chez lui qu'après avoir découvert ce qui s'était passé à Néo-Toulouse. Il prit son bâton de pèlerin. Cinq jours plus tard, il arriva à Néo-Toulouse. Là, tout n'était que ruines et désolation. La croix occitane de la place du Capitole était remplacée par un énorme cratère (ce qui avait englouti au passage le palais du Capitole). Sangkor se rappela soudain que c'était de là qu'était parti le cataclysme, encore pire que l'explosion de l'usine AZF sept ans plus tôt...

Alors qu'il se remit en route vers la place Esquirol, Sangkor aperçut de la poussière au loin... Il vit qu'elle se rapprochait très vite. Il vit alors une dizaine de scooters fonçant vers lui. C'étaient des gens de la tribu d'Empalot, rivaux de la tribu du Mirail. Ce schisme s'était produit juste après le cataclysme de 2008. De ce fait, aller au Mirail ou à Empalot relevait du suicide.

Les rebelles s'approchaient de lui et tentèrent de faire tomber Sangkor. Mais Sangkor était un guerrier surentraîné et sdfihshsdf [censuré] sinon on tombe dans un DBZ quelconque...

Après avoir neutralisé les rebelles, il décida d'emprunter un scooter afin de rallier plus rapidement la place Esquirol... Mais remonter le boulevard n'était pas chose aisée. La chaussée avait été rendue impraticable à cause du cataclysme, et bon nombre d'épaves jonchaient le boulevard. Çà et là, on pouvait voir ce qui reste des nombreux pillages qui suivirent la catastrophe. Tout (ou presque) avait disparu... Les mannequins, les chaussures sportives, les cassettes, et même les peluches du Disney Store avaient été réquisitionnés... Une fois arrivé à Esquirol, il contempla un charnier effroyable.

Tel un automate, le dinosaure noir s'avance vers le chef des toutous-bombes et dit : "SCHNAAA SCHNAAA SCHNAPPI ! SCHNAPPI-SCHNAPPI-SCHNAPP !!!!!!" (en attendant une meilleure signature)

Avec de vrais morceaux de pattes d'eph :

./Post n°1 Marquer comme non lu.

naPO

Ecrit le: Jeudi 13 mai 2004 à 16:35

Membre: Maître Ultime

Groupe: Orage Studio

Messages: 2430

Membre n°17

Inscrit le 01 février 2004

Les cadavres étaient éparpillés partout. Les mouches et autres rampants avaient envahi la place Esquirol... Et ce cataclysme s'était étendu jusque dans les profondeurs ; le métro avait été instantanément arrêté dans les minutes qui suivirent le choc. On pouvait encore voir les voitures du métro qui s'étaient éteintes pour l'éternité. Sangkor pouvait déambuler dans ces tunnels sombres et lugubres qui constituaient les trois lignes du souterrain. Arrivé à la Station "Mirail Basso Cambo" il vit qu'il jouait avec sa vie. Trois membres de la tribu du Mirail l'attendaient. Avec ceux d'Empalot, d'Arsenal et d'Amouroux, c'étaient eux qui avaient tiré le plus profit des pillages. C'était d'ailleurs de là que venait leur dissensions : chacun voulait avoir la part la plus importante lors des pillages. Comme ils n'étaient jamais parvenus à se décider, ils s'en était suivi des luttes fratricides. Dès lors, les quatre tribus se vouaient une haine sans merci.

Le Mirail était mené par Abdel, un gros homme qui avait assouvi ses désirs dans la nourriture. Empalot était mené par Tariq, un homme assez svelte qui malgré tout devait être assisté de plusieurs gardes du corps. Amouroux était mené par Youssouf, un homme qui adorait étaler sa richesse à ceux qui l'approchaient, que ce fût ses rivaux ou ses admirateurs. Arsenal était mené par Pierre. Celui-ci vouait une haine plus que méprisante envers les autres cités en raison de ses penchants politiques.

Tel un automate, le dinosaure noir s'avance vers le chef des toutous-bombes et dit : "SCHNAAA SCHNAAA SCHNAPPI ! SCHNAPPI-SCHNAPPI-SCHNAPP !!!!!!" (en attendant une meilleure signature)

Avec de vrais morceaux de pattes d'eph :

./Post n°2 Marquer comme non lu.

serioussam

Ecrit le: Jeudi 13 mai 2004 à 22:19